Poset Moset

Pour que ce film soit en salle ( film qui dénonce les méfaits de la mauvaise alimentation et des pesticides) il faut qu'un maximum de personnes regarde la bande-annonce dans les 3 jours à venir. Nos enfants nous accuseront Faites passer, . Même si vous ne visionnez pas complètement, c'est le nombre de visites dans les 3 jours qui fera le poids... Le voir est encore mieux. Faites suivre à tous vos contacts !

voici les paroles de la chanson, à chanter en coeur pour les fêtes:

petit caca noël quand tu sortiras d'l'usine avec tes emballages par millier n'oublies pas mon petit soulier

mais avant d'être achté (par carte bancaire 10% d'réduction) il faudra prendre le camion (autoroute diesel direction grande surface) et réchauffer un peu plus le climat c'est un peu à cause de moi

il me tarde tant que l'magasin ouvre pour visiter tous les rayons tous les cacas de la télévision que je vais consommer

petit caca noël (made in china ou d'ailleurs) quand tu sortiras du sapin en plastique avec tes ordures par millier n'oublies pas d'être incinéré

et après être brûlé il faudra te respirer sur la terre et dans l'air adoré y a plus qu'à attendre la prochaine année

!VIVE LA FÊTE!!!!!

auteur- e: sophielle et richard

sophie.gerbetey@yahoo.fr

-à prononcer Galoches-

En Turquie, dans de nombreux lieux –médicaux, religieux- on propose aux visiteurs d’enfiler, par-dessus leurs chaussures, des GALOCHES, sortes de protège-chaussures en plastique (bleu) maintenu par un élastique, à USAGE UNIQUE ! Brrrrr…. PosetMoset n’aime pas ça ! Et c'est Sinouchka qui le dit !

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Les dames musulmanes se couvrent beaucoup. Elles mettent des manteaux même en été et elles ne l’enlève pas dans leur voiture. Alors forcément, il doit y avoir la clim dans la voiture. A fond ! Ca c’est pas très écolo !

Thais

Par Thais

A Hasankeyf, nous avons fait une balade avec Jibé et Stephane. C’était magnifique : nous avons ramassé des débris de poteries anciennes, nous avons grimpé dans les grottes, guidés par Sinoë. Tout ça c’était SUPER ! Mais le seul problème, c’est qu’il y avait des déchets PARTOUT dans les grottes. Alors on a pris notre courage à deux mains. Mais même avec nos 10 mains (Sinoë n’y a pas participé), ça ne suffisait pas ! Jibé ne ramassait que les déchets de jus et de coca : c’est le coca qui gagne ! Stéphane et moi, on ramassait tout ce qu’on voyait : au moins 8 sacs en plastique. Ces sacs étaient aussi des déchets ! Maman, c’était les bouteilles d’eau. A la fin, on a mis tout ça à la poubelle, nous avons été applaudi par deux garçons et Joël a fait sa morale avec des grands gestes, plein d’explications, il hurlait et ça résonnait dans les grottes.

Sinon, Hasankeyf c’était trop joli. Avec ma mère, on a été perdues dans des grottes avec des marches anciennes creusées dans la roche et on ne savait pas où ça nous menait. Finalement, on a réussi à descendre du haut de la falaise où il y avait un château, jusqu’à la rivière en bas, en passant par l’intérieur de la falaise ! Ma mère avait le vertige quand elle voyait l’extérieur par une ouverture.

Les photos sont sur un appareil photo qu'on déchargera a İstanbul !!

Hier, à Halfeti, au bord de la plage qui longe l’Euphrate, nous nous sommes installés sur une plage qui était très sale et nous, avec papa et ma sœur, nous l’avons nettoyée complètement avant de nous baigner. Nous avons vu une famille francophone de Belgique et ils sont venus s’installer sur la même plage que nous. Ils ont commencé à pêcher. Nous nous sommes amusés ensemble avec les enfants. Mais à la fin, un garçon de 5 ans environ a demandé à son père : « Où je mets le sac en plastique ? ». Son père lui a répondu : « tu le laisses ! » Et Joël a dit au petit garçon : « tu n’as qu’à le mettre dans le sac poubelle ! » Mais c’était vraiment étrange car ils vivaient en Belgique, ils devraient savoir que on ne doit pas jeter les choses par terre. En plus mon papa quand cette famille est arrivée, il leur avait dit : « Pouvez-vous ne pas mettre de déchets sur cette plage s’il vous plaît car nous venons de la nettoyer ». Mais ils ont quand même laissé des sacs en plastiques et des bouchons en plastique.

J’ai remarqué une autre fois qu’il y avait une bouteille de jus de fruit sur la plage et le père a dit à sa fille « tu prends la bouteille ? », sa fille a répondu, « elle est finie ». Ils sont partis comme ça. Ils parlaient turc et une autre langue étrangère.

Thais

Au lac de Bafa,

La petite dame qui nous a accueillis nous explique qu’auparavant, ils cultivaient ici le coton mais qu’ils avaient préféré abandonner cette culture car le coton était vraiment trop consommateur d’eau, et d’engrais : Pour réussir à obtenir une belle fleur de coton facile à cueillir et bien ouverte, une très grande quantité d’engrais est nécessaire. De plus, le kilo de coton étant payé maintenant 60 à 70 kurus –moins de 40 centimes d’euros, ce n’était plus rentable de le cultiver.

Lac de Bafa, un lac propre, d'eau saumâtre : il était auparavant relié à la mer mais celle-ci s'est retirée - c'est d'ailleurs pour cette raison que Ephese a été délaissée, car cette ville a aussi était victime du retrait des eaux, vers le 4eme siecle il me semble.

La ville au bord du lac de Bafa était un site historique dont subsistent de nombreuses ruines grecques.

Cette année, avec la classe de Zoé et la mienne, nous avons fabriqué le GOBELET ECOLO

Voilà ce que ça donne :

Et le premier jour des vacances pour les filles (et pour nous !), j'ai eu envie de leur faire un petit Kado : un "set écolo" pour leurs années de camping à venir : vendu en magasin de sport, c'est : - absolument pas encombrant, - ultra léger - résistant - hyper pratique - à usages multiples - économique - écologique car garanti à vie... ça reste à être vérifié !

Les enfants de leur école eux, pour la plupart, reçoivent des cadeaux de folie lorsqu'ils reçoivent leur livret scolaire : DS ( c'est une console de jeux électronique), playstation, télévision à écran plasma, i-pod, i-phone... bref, je m'attendais à ce que ce soit difficile de leur expliquer, que pour nous, un livret scolaire n'attendait pas de cadeau, que leur travail méritait un gros bisou car on avait confiance en elles, qu'on savait qu'elles donnaient le meilleur d'elles-mêmes, et que les efforts se récompensaient avant tout par l'autosatisfaction. Mais quand on leur a demandé ce qu'elles s'attendaient à recevoir pour fêter la fin de l'année scolaire, Thaïs a répondu et a été soutenue par sa soeur : un repas au restaurant avec vous deux, comme ça on pourra bien discuter. Chouette ! Ca me plaît ! Et c'est ce qu'on a fait... Repartis bien replets...

C'est une des mosquées de Tophane, à Istanbul. L'environnement est magnifique, si on fait abstraction des déchets qui trainent partout...

Dans notre Quartier, on ne porte pas de montre Cartier, Mais Sefik, lui, porte les saletés à toute heure de la journée Et ce n'est pas la panacée...

Ce reportage en turc est tout à fait compréhensible rien qu'avec ces belles images faites par notre ami photographe FATIH PINAR

Il raconte la vie d'un ramasseur de poubelle : verres, papiers, cartons qu'il revend pour vivre. Ces "trieurs" vont dans les poubelles, les éventrent, et récupèrent tout ce qu'ils peuvent revendre. Reportage très optimiste d'un gars qui a tout perdu lors du tremblement de terre d'Izmir en 1999 et qui se satisfait pleinement de ce qu'il a ici. Il dit que s'il avait de l'argent, il en enverrait dans son village natal car là-bas, les gens sont vraiment pauvres. D'après lui, à Istanbul, il n'y a pas vraiment de pauvres car on trouve toujours de quoi vivre. Il a une femme, un enfant, un appartement très propret.