Dans notre Quartier, on ne porte pas de montre Cartier, Mais Sefik, lui, porte les saletés à toute heure de la journée Et ce n'est pas la panacée...

Ce reportage en turc est tout à fait compréhensible rien qu'avec ces belles images faites par notre ami photographe FATIH PINAR

Il raconte la vie d'un ramasseur de poubelle : verres, papiers, cartons qu'il revend pour vivre. Ces "trieurs" vont dans les poubelles, les éventrent, et récupèrent tout ce qu'ils peuvent revendre. Reportage très optimiste d'un gars qui a tout perdu lors du tremblement de terre d'Izmir en 1999 et qui se satisfait pleinement de ce qu'il a ici. Il dit que s'il avait de l'argent, il en enverrait dans son village natal car là-bas, les gens sont vraiment pauvres. D'après lui, à Istanbul, il n'y a pas vraiment de pauvres car on trouve toujours de quoi vivre. Il a une femme, un enfant, un appartement très propret.